C'est vrai que les exclusions, c'est le diable qui se cache dans les petits caractères ! 😈 Pour l'inventaire, je me demande si une appli de gestion de budget pourrait pas aider, certaines ont des fonctions pour lister ses biens, non ? 🤔 Sinon, pour revenir au sujet, bien vu pour le vol sans effraction, c'est un point super important à vérifier ! 👍
C'est clair que les influenceurs peuvent avoir un impact, surtout sur les primo-accédants qui sont peut-être plus sensibles aux discours qu'on trouve sur les réseaux. Après, mesurer précisément leur influence, c'est une autre paire de manches ! Ça demanderait des études poussées sur les comportements d'achat et la réception des messages...
Pour revenir aux régions, je pense qu'il faudrait croiser les données des ventes avec d'autres indicateurs. Par exemple, le nombre de permis de construire accordés. Si on voit une chute drastique des permis dans certaines zones, ça peut être un signe avant-coureur d'une baisse de l'offre à venir, et donc potentiellement d'une tension sur les prix à moyen terme, même si les ventes baissent actuellement.
Autre point à surveiller : le taux de vacance des logements. Si ce taux augmente significativement dans une région, ça peut indiquer un désintérêt pour cette zone, lié à des facteurs comme le manque d'attractivité économique, des problèmes d'insécurité, etc. Ça pourrait expliquer pourquoi certaines régions sont plus touchées que d'autres par la baisse des ventes. En Île-de-France, par exemple, malgré la tension habituelle, on observe des disparités importantes selon les villes. Certaines zones périurbaines, moins bien desservies, pourraient souffrir davantage.
Et puis, ne pas oublier l'évolution démographique. Les régions qui voient leur population vieillir ou qui attirent moins de jeunes actifs risquent d'être plus impactées par la baisse des ventes. Forcément, si y'a moins de jeunes qui s'installent, y'a moins d'acheteurs potentiels. Faut voir si les 750000 transactions de 2022 étaient pas un pic exceptionnel lié à des facteurs conjoncturels (envie de changer de logement après le covid, etc.) et si on est pas juste en train de revenir à une situation plus "normale", même si les prévisions pour 2024 sont pas super rassurantes...
En gros, c'est un faisceau d'indices qu'il faut analyser pour comprendre ce qui se passe réellement sur le marché. Et c'est pas juste une question de taux d'intérêt ou d'inflation, même si ça joue évidemment un rôle important. Faut vraiment avoir une vision globale et prendre en compte les spécificités de chaque région pour éviter de tirer des conclusions hâtives. Un peu de méthode, quoi ! 🤔
FenêtreSurCour75, c'est exactement ça ! 👍 J'ai aussi des retours de clients qui ont mis plus de temps à trouver des artisans qualifiés pour la pose de matériaux biosourcés. Faut dire que c'est un marché en pleine expansion, mais tout le monde n'est pas encore au niveau. Mais l'idée de la valorisation à long terme, c'est un argument qui revient souvent, surtout avec la pression croissante pour des logements plus "verts"... 🏡🌳
Salut FenêtreSurCour75,
Ah, le cahier des charges... Vaste sujet ! Pour avoir bossé sur pas mal de chantiers, je dirais que l'erreur classique, c'est de ne pas assez creuser la question de l'isolation. On pense souvent en termes de conformité aux normes, mais il faut aller au-delà. C'est un peu comme se dire qu'on a assez mangé parce qu'on a avalé le minimum vital...
Par exemple, je vois trop de cahiers des charges qui se contentent d'exiger la conformité à la RT2012 (ou RE2020 maintenant). C'est bien, mais ça ne dit rien sur la qualité de la mise en œuvre, ni sur la performance réelle du bâtiment une fois habité. Pense à exiger des tests d'étanchéité à l'air (blower door test) en cours et fin de chantier, avec des objectifs chiffrés. Un résultat de Q4Pa_surf inférieur à 0,6 m³/(h.m²) c'est un bon début, mais viser en dessous de 0,3, c'est déjà un autre niveau de confort et d'économies sur le long terme. Et demande les certifications des matériaux isolants utilisés !
Autre point souvent négligé : l'acoustique. On se focalise sur le thermique, mais le bruit, c'est un vrai facteur de stress. Si ta maison est proche d'une route passante ou d'une voie ferrée, pense à exiger des performances d'isolation phonique spécifiques pour les murs, les fenêtres et la toiture. Vise un affaiblissement acoustique pondéré (Rw) d'au moins 45 dB pour les façades exposées au bruit. Crois-moi, ça change la vie !
Et enfin, un truc tout bête, mais qui peut coûter cher : la précision des plans. Plus ils sont détaillés, moins il y a de place à l'interprétation (et donc aux erreurs et aux surcoûts). Exige des plans d'exécution précis, avec toutes les cotes et les détails techniques. N'hésite pas à demander des coupes et des élévations supplémentaires pour les points critiques (raccordement des menuiseries, traitement des ponts thermiques, etc.). Un plan bien fait, c'est déjà la moitié du travail accompli !
C'est un point pertinent, Gabriela15, mais je crois pas que ce soit le seul facteur déterminant. Même avec une offre plus conséquente, la demande actuelle est tellement forte que ça suffirait pas à faire baisser les prix de manière significative, selon moi. On est face à une conjoncture exceptionnelle.